mercredi 23 novembre 2011

Vu dans le 20 minutes

source : 20minutes du 18/11/2011 ed. Paris.

lundi 21 novembre 2011

Le chiffre du jour : 10

10 : c'est en milliards d'euros, la prévision de chiffre d'affaire annoncé par la FEVS (Fédération des Exportateurs de Vins et Spiritueux) réalisé par la filière viticole française en 2011. Pour information, en 2010, il était de 9 Mds d'euros. La filière confirme encore ainsi son rôle dans l'économie française; derrière l'aéronautique (18 Mds d'euros), mais devant les parfums et cosmétiques (7,6 Mds d'euros).

vendredi 18 novembre 2011

Le chiffre du jour : 15 000

15 000 : c'est en milliards de dollars, le montant total de la dette publique des États-Unis. Elle a atteint ce record, même pour un pays comme les États-Unis. Et pourtant, on ne fait pas un tapage de ce gouffre abyssal qui accapare la première seconde puissance mondiale.

jeudi 17 novembre 2011

Le chiffre du jour : 3.50

3.50 : c'est en pourcentage, le taux auquel emprunte la France actuellement sur les marchés pour la durée de 20 ans. A titre indicatif, c'est deux fois supérieur au taux auquel emprunte actuellement l'Allemagne.
Donc si dans les faits, la France garde son 'AAA' et reste officiellement dans le club des emprunteurs les plus "chanceux" (on dira). Personnellement, j'estime qu'elle l'a déjà perdu.
Et là pas besoin des agences de notation, les banques s'en sont déjà chargées !

mercredi 12 octobre 2011

Le fait du jour : la France garde son "AAA"

C'est le fait marquant de ces derniers jours : la France garde son "AAA". C'est l'agence de notation américaine Moody's qui l'a annoncé le 10 octobre dernier.

Bien entendu, il faut se réjouir de cette bonne nouvelle, car avec cette note, la France reste dans le club des meilleurs emprunteurs du monde, c'est à dire les plus solvables. Attention à l'excès d'optimisme. Car la carte de membre, cette année coute très cher ! Il ne faut pas oublier que c'est au prix d'efforts consentis et redoublés sur l'austérité (décidément on lui met tout sur le dos). La taxe sur les mutuelles, sur les plus-values immobilières, sur les sodas (contenant du sucre), sans oublier le coup de rabot sur les niches fiscales, sont passés par là.

Alors oui, je partage l'optimisme de Francois Barroin, notre ministre de l'économie, car avec cette note, nous pouvons continuer à emprunter à taux préférentiel. Mais non, je reste perplexe sur la portée réelle de ces mesures, qui une fois digérées, devront certainement être retouchées.
Rappelons-nous quand même que les Etats-unis ont perdu leur AAA au mois de mai dernier, sur l'hypothèse que le pays serait dans l'incapacité chronique de résorber sa dette souveraine.
Faut-il y voir un appel d'air des investisseurs vers la France et non moins vers les Etats-unis ?
C'est à espérer !

mercredi 5 octobre 2011

Le chiffre du jour : 65,9

65,9 : c'est en milliards d'euros, le montant total que coutent les niches fiscales. Rappelons-le, les niches fiscales concernent des dégrèvements ou exonérations d'impôts sur des sujets comme le logement locatif (dispositif Scellier), ou bien des emplois à domicile, par exemple. A titre de comparaison, le plan d'aide de la Grèce porte sur 100 milliards d'euros.

jeudi 29 septembre 2011

La nouvelle guerre économique

Je voulais par le biais de ce post, pousser un coup de gueule contre les marchés américains et ces fameux investisseurs qui n'osent plus investir ailleurs que dans la pierre et l'or.

Rappelons les faits en retournant avant 2002, avant la création de la zone euro. A cette époque, l'Italie et la Grèce dévaluent régulièrement leur monnaie afin de contrer l'inflation galopante. A tel point qu'en 2002, il fallait 1936,27 lires et 340,75 drachmes pour faire un euro (alors qu'il fallait 1,95583 deutsch mark). Même a ce moment, ces deux pays n'étaient pas de grandes puissances économiques, eusse égards envers ces deux pays.

Alors pourquoi les avoir intégrer dans la zone euro ?
Ben, la réponse est plutôt simple : l'engagement. En ratifiant le pacte de stabilité, les états s'engageaient à réduire leur déficit public en dessous des 3% du PIB (entre autres choses). La Grèce, comme l'Italie, connaissait donc les "règles du jeu". Attention, je ne dis pas qu'il y aurait fallut les exclure de la zone euro, mais avec leur dégradation de leur note par les agences de notation, les choses ne vont pas aller en s'arrangeant. En effet, leurs emprunts contractés sur les marchés internationaux vont être foncièrement plus chers, avec pour conséquence directe d'augmenter leur endettement, sauf si ces derniers engagent de très sérieuses reformes structurelles afin de dégager des ressources financières dans le seul but de rembourser une partie seulement de leur dette souveraine.
Mais, en fait, à y réfléchir, de la dette, tout le monde en a, même les pays du monde arabe. Ce qui change d'un pays à un autre, c'est sa capacité à rembourser (illustrée par cette fameuse note). Mais toute machine économique qu'elle soit très performante, ou moins, a besoin de carburant (des investissements) pour fonctionner. Or, et c'est précisément où je veux en venir, cette défiance des marchés envers la Grèce et l'Italie (et aussi d'autres pays européens) ne fait que gripper les machines économiques nationales.
Je ne ceux pas dénigrer les efforts consentis par le gouvernement grec mais on constate que l'ensemble des reformes qui passent dans le pays dénaturent très fortement le tissu socio-économique. Pour preuve l'augmentation du chômage et les grèves à répétition. Ce n'est pas dans ces conditions (extrêmes ?) que la Grèce pourra redevenir économiquement viable et surtout solvable. Car la théorie veut que quand on augmente les impôts à outrance, la demande intérieure se contracte, la consommation stagne, voir recule et dès lors, le cercle vicieux est enclenché : les richesses peinent à se créer.
Ce scénario, passez-moi l'expression, pend au nez de l'Italie. Et si demain, cela devait arrivé, la zone euro s'en trouverait encore affaiblie sur la scène nationale. De toute façon, à l'heure actuelle, il faut exclure la sortie de la zone euro de ces "mauvais élèves". La question est la suivante "Après, ce serait le tour de quel pays ?" L'Espagne ? Le Portugal ? In fine, il ne restera pas grand chose de la zone euro !
Non, ce qu'il faut voir, c'est qu'actuellement économiquement affaiblis, ces pays pourraient se révéler des atouts de compétitivité dans l'avenir. Avec la Chine qui est obligée de ralentir sa croissance, victime de l'inflation et de l'augmentation du niveau de vie des chinois, les regards des investisseurs pourraient se tourner vers la Grèce et l'Italie, à moyens termes (on l'a vu avec l'Irlande dans les années 90).
L'explosion de la zone euro, c'est effectivement ce que semble rechercher les agences de notation américaines. Mais, je le répète, il faut combattre cette idée d'exclusion. On entend souvent qu'il y a un assèchement des liquidités en Europe, mais les fonds propres existent et quand bien même, pourquoi ne pas vouloir attirer les investisseurs chinois, russes, indiens ou brésiliens ?
L'Europe avec ses atouts que sont le tourisme, son agriculture, son industrie reste une terre d'innovation de prédilection même si sa croissance n'est pas fulgurante !

jeudi 22 septembre 2011

Le chiffre du jour : 1,4%

1,4% C'est la prévision de croissance prévue par le FMI pour 2012 en France. Pour rappel, le gouvernement table sur une croissance de 1,75% pour l'établissement du budget 2012. Des millions d'euros devront être trouvés ou bien des coupes budgétaires auront lieu !…


mercredi 14 septembre 2011

Moody's abaisse les notes du Crédit Agricole et de la Société Générale.

C'était dans les tuyaux depuis un petit moment et certains observateurs auraient pu ironiquement se demander laquelle de Standard & Poors ou de Moody's auraient "tiré" la première ! C'est donc à cette dernière que revient cet "honneur" ! Concrètement, qu'est-ce cela signifie ? Cela signifie simplement que ces deux banques de par leur investissements en Grèce, pourraient perdre des fonds si le pays se déclarait en faillite. Dans ce cas, ils pourraient éventuellement se retrouver en défaut de paiement. Il faut voir dans ces notes, le caractère de solvabilité de ces établissements. Pour les clients, aucune inquiétude n'est à craindre : les pouvoirs publics ne laisseraient pas ces sociétés déposer le bilan. Au pire, une nationalisation partielle ou entière serait des scénarios tout à fait plausible et dans ces conditions, les clients ne verraient pas leurs économies partir en fumées. Non. Ce qui est plus grave, c'est que ça marque une étape de plus dans une logique de défiance des marchés envers les institutions qu'elles soient privées (banques ou assurances) ou publiques (états). Cette logique est en quelque sorte, la terminaison de la politique du "déshabiller Pierre, pour habiller Paul". Je m'explique.
Avant pour réaliser des projets, des emprunts étaient effectués afin de trouver les fonds nécessaires au paiement de la main d'œuvre et des matières premières. Les emprunts étaient effectués à des taux pas forcement avantageux pour l'emprunteur. Mais ce dernier pouvait allègrement aller chercher de l’argent ailleurs pour aller se refinancer à moindre frais et surtout à des taux inférieurs. Les banques (quelque soit leurs origines) sont passées expertes dans ce domaine, elles ont d’ailleurs leur propre taux d'intérêt, le taux inter-bancaire EURIBOR.

Avec cette dégradation de leur note, Moody’s ne cherche-t-elle pas à ajouter de la méfiance sur des organismes qui sont malgré tout en bonne santé financière ? Cette logique du catastrophisme emprunté par les agences de notation n’a au final qu’un effet pervers et non des moindres : celui de vouloir ralentir brutalement l’activité de ces organismes, et de facto des états, mais qui restent (et on le voit bien) malgré tout solvables dans bien des conditions. Nous verrons dans les mois à venir si ces banques pourront continuer à octroyer des prêts importants ou bien calmer le jeu. Et “calmer le jeu” en économie, c’est diminuer les prêts, donc les investissements, donc l’activité économique...Et ça nous n'en avions vraiment pas besoin en France !

jeudi 11 août 2011

La situation économique reste préoccupante

Et ce à plusieurs titres. D'abord au niveau macroéconomique, nous avons techniquement parlant, la planète divisée en trois grandes zones géographique. Les pays occidentaux, comme les Etats-unis, l'Europe qui connaissent des déboires économiques sans précédents. Les Etats-unis sont empêtrés dans une dette record de plus de 14.000 milliards de dollars, qui lui a valu le fait d'être placée sous surveillance par Standard & Poors. Ce fait est assez remarquable pour estimer qu'une agence de notation marque sa défiance quant à la capacité des USA à rembourser les investisseurs. Au delà de cela, il faut considérer que si les américains n'avaient pas relever leur plafond de leur dette, la situation aurait été pire. Car dans ce cas, cela aurait signifier purement et simplement la faillite d'une grande puissance. Inconcevable !
En Europe, la situation est guère enviable. On ne finit pas de renflouer les caisses de la Grèce. Et c'est également l'Italie, l'Irlande, le Portugal et l'Espagne qui menacent à leur tour de faire un détour chez les trésoriers de Bruxelles.
Deuxième grande zone, l'Afrique et le moyen-orient. La-bas, la situation est toujours dramatique, sans parler des pays du bassin méditeranneen qui connaissent les révolutions du jasmin, l'Afrique noire et particulièrement la corne de l'Afrique (Somalie, sud-Soudan, Ethiopie) sont actuellement touché par une famine parmi les plus importante de ces dix dernières années. Ajouté à cela, le prix des denrées alimentaires associé à leur rareté (l'un allant rarement sans l'autre) et vous obtenez une catastrophe humanitaire.
Enfin, l'Asie qui sort du lot avec la Russie et le Brésil connait une croissance toujours soutenue. Mais qui dit "croissance soutenue" dit aussi demande de matières premières importante. Le premier effet de cela est la hausse des prix de ces dernières. Mais sournoisement, nous avons également une hausse des prix des denrées alimentaires. Certes, ces dernières ne sont pas rares en Chine. Mais avec la croissance, la demande intérieure a explosé et les prix se sont envolés. Au final, c'est l'inflation qui guette. Et tout économiste sait que l'inflation si elle n'est pas maitrisée peut vite devenir néfaste, quelque soit d'ailleurs le modèle économique en place ! Les nouvelles du Japon ne sont guère meilleures. Le tsunami de Février dernier devrait laisser encore quelques stigmates et de nombreuses cicatrices tant au niveau matériel que financier. A ce titre, Toyota qui n'a pas pu faire tourner ses chaînes de production vient de perdre sa place de n•1 mondial de l'automobile. Mais c'est un peu oublié l'aspect humain, aussi : les habitations dévastées quand elles ne se trouvaient pas dans une zone contaminée par les radiations !

C'est finalement un tableau très sombre que j'ai dressé mais il est un triste reflet des désastres arrivés et des événements susceptibles de venir.

dimanche 24 juillet 2011

Eh oui, les vacances finies, je rapporte une petite photo de Cannes...


Dans la rue d'Antibes, j'ai trouvé une sculpture de Jenkell (le bonbon) aux couleurs de la Grèce devant l'agence de la banque LCL. Même si le groupe bancaire n'est pas officiellement exposé dans le pays, je n'ai pas pu m'empêcher de faire le rapprochement entre le milieu bancaire et la situation financière de la contrée hellénique. Je trouve qu'il y a une certaine ironie dans le choix de l'emplacement de cette sculpture, alors que d'autres sculptures du même artisiste (figurant les drapeaux d'autres pays) se trouvaient sur la Croisette et dans la ville de Cannes.

Location:Cannes, France

vendredi 1 juillet 2011

Enfin, la baisse du pétrole...




Jusqu'à présent, je pensais que l'OPEP était omnipotente quant à la production de pétrole sur la planète. Bon d'accord ! Il n'y a pas que l'OPEP qui fournisse du pétrole au reste du monde, la Libye et les Etats-Unis produisent également, n'en font pas partie. Mais avec sa part prépondérante, l'OPEP agissait comme un monopole.
Vous l'avez peut-être remarqué, j'utilise le passé quand je parle du consortium des émirats, mais cette semaine, il s'est produit un phénomène particulièrement significatif de la spéculation qui entoure le baril de brut.
L'AIE (l'agence internationale de l'énergie, qui regroupe un bon nombre de pays consommateurs) a décidé en effet de mettre 60 millions de barils sur le marché. La réaction des marchés ne s'est pas fait attendre : le brut perdait plus de 10$ en une seule journée ! Ben oui, l'excès de barils, devait très logiquement faire baisser les cours, et c'est exactement ce qu'il s'est produit !

Il ne faut pas s'y tromper, si tous les pays consommateurs décident de taper dans leurs réserves stratégiques, c'est que derrière ils estiment que la flambée du brut qui s'est installée depuis plus de 5 ans maintenant, risque de leur couter de précieux points de croissance. Il faut y voir également un geste d'entretien de la reprise, qui est certes molle, mais présente quand même ! L'envolée des prix des matières premières fait peser des incertitudes sur les économies occidentales qui n'est au final bon pour personnes. Car à terme, une hausse des prix (prônée par l'Iran et le Venezuela notamment) risquerait de gripper durablement le porte-monnaie de leurs acheteurs.
Revenons à nos barils de brut remis sur le marché, il faut bien voir que cette manoeuvre est très limitée dans le temps, car une fois, l'effet d'annonce résorbé, la spéculation pourra reprendre ses droits ! Ne nous y trompons pas : les prix baissent, oui, mais uniquement pour l'été !

Location:Voie Perronet Nord,Puteaux,France

vendredi 24 juin 2011

Pourquoi la relance de la Grèce ne fonctionnera pas...




Je dois confesser que je joue un peu ma Cassandre, mais je ne crois pas au processus de relance européen, et cela à plusieurs titres.
La Grèce est l'un des pays méditerranéen les plus visité, son activité touristique est très importante. On y retrouve des fleurons architecturaux par centaines. Mais les grecs ne sont pas réputés que pour cela. Il faut savoir que la corruption y est l'une des plus importante au monde. Avec ce problème, le chômage y est également endémique.
Ainsi, en quelques années, la Grèce est devenue le parent pauvre de l'Europe. La faute à quoi ? Ben aux taux d'intérêt internationaux. Il faut savoir que la note (donnée par les agences de notation) de la Grèce est la plus basse possible. C'est que dans ces conditions, les emprunts collectés par la Grèce ont des taux d'intérêt très haut (autour de 20% !). Tellement haut, que même avec une croissance autour de 2%, il lui faudrait plusieurs décennies avant de pouvoir les rembourser totalement !
Ce que je cherche a vous faire comprendre, c'est que le cercle dans lequel se trouve le peuple grec est vicieux. Car tous les efforts de création de richesse partent systématiquement à l'étranger ! C'est seulement quand les richesses seront redistribuées au peuple que les choses iront mieux. Mais pour le moment, c'est loin d'être le cas ! Au menu grec, c'est hausse des impôts, baisse des emplois dans la fonction publique, privatisations des groupes nationaux, etc... Vous savez cette situation me fait penser à quand vous faites banqueroute au Monopoly. Vous vendez tout et même ce qui était le plus rentable pour vous devient la propriété de vos adversaires. Actuellement, pour continuer dans la métaphore, la Grèce devrait acheter une seconde boite de jeu, pour s'octroyer l'ensemble de la banque de la boite !
Vous trouvez mon allusion, un peu forte, mais la situation est telle que les moteurs de son économie sont à plat. Il ne reste malheureusement que le tourisme qui sauve la face.
Ensuite, les différents plans de relance feront-ils l'affaire ? Rien n'est moins sûr ! Les différentes enveloppes paieront les salaires des fonctionnaires, mais ces mêmes fonctionnaires ne créent pas forcement de la richesse, du moins pas directement ! Pour moi, ces plans ne sont donc que des perfusions qui maintiennent en vie, le malade grec.
A-t-on vraiment le choix ? La réponse est non. De nombreuses banques européennes et évidemment françaises se sont portées acquéreur de banques grecques, or ces dernières n'étant pas solvables (ou difficilement), elles sont devenues par conséquent toxiques. Le terme est fort, mais le risque d'impayés est élevé. Or les impayés, les investisseurs détestent ça ! Et à terme, ce sont les banques toutes nationalités confondues qui risquent de trinquer sur les marchés.
On peut dire qu'aujourd'hui, le pays et ses investisseurs sont dans l'impasse : on ne pourra pas prêter indéfiniment de l'argent et les mesures drastiques prônées par M. Papandreou risquent de lui couter son poste, tant elles sont impopulaires et ça se comprendrait !

On voit clairement que la Grèce ne doit (et ne devrait) pas sombrer, mais la planche à billets en euros s'usera vite et tôt ou tard, les comptes devront être justifiées, et des compensations pour les créanciers, demandées !

Location:Place Carpeaux,Puteaux,France

samedi 12 mars 2011

Les catégories professionnelles exposées à la hausse du pétrole…

Cela fait un petit moment que je n'ai pas posté…

Alors les prévisions les plus optimistes prévoient un baril de pétrole à 200$ au mois du septembre 2011, soit d'un prix à la pompe à 1,90€. On se rend compte qu'un nombre important de professions va se retrouver confronter à des difficultés directes, liées à l'exercice de leurs métiers. Ainsi, les taxis et les transports en commun (notamment les bus), voient leurs charges augmenter drastiquement. De manière indirecte, il y a également ceux pour qui les engins motorisés constituent une composante importante voire cruciale de leurs activités. Je pense aux agriculteurs, aux maraichers et aux pêcheurs. Les produits frais devraient donc logiquement augmenter.